Autodiagnostic managérial des RPS dans son équipe Fiche pratique pdf à télécharger

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Auteur : Stéphan Pezé

Les managers peuvent utiliser un autodiagnostic des risques psychosociaux (RPS) pour construire un plan d’actions ciblé et adapté à leurs collaborateurs et à l’activité qu’ils réalisent. Fiche pratique accompagnée d'un outil Word pour réaliser votre autodiagnostic.

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Contenu de la fiche pratique PDF "Autodiagnostic managérial des RPS dans son équipe"

L’évaluation des risques psychosociaux (RPS) est une démarche de prévention globale initiée par l’employeur et permettant d’identifier quelles actions, à large spectre, doivent irriguer l’ensemble des activités de l’entreprise.

Mais est-ce vraiment une ressource pour les managers dans la lutte au quotidien contre les RPS ? En effet, les questionnaires utilisés pour évaluer les RPS sont assez généraux et rendent difficile le lien avec le travail effectif réalisé par les salariés. Cette démarche globale conduit également les managers à se dessaisir d’une action plus personnelle sur les RPS.

Heureusement, une autre voie est possible. En réalisant un autodiagnostic RPS dans le périmètre de leur équipe, les managers peuvent se réapproprier l’action de prévention et d’accompagnement, au plus proche du terrain. Cet autodiagnostic est réalisé par le manager sur la base de ses connaissances, de l’équipe, du travail réalisé, etc. Il s’organise en trois étapes.

La première étape vise à identifier s’il y a des raisons de s’inquiéter grâce au passage en revue de différents indicateurs d’alerte. L’identification de situations aiguës permet également d’agir immédiatement, sans attendre la fin de l’autodiagnostic. Toutefois, ce n’est pas parce qu’il n’y a pas de problèmes apparents que ceux-ci ne peuvent pas survenir.

La deuxième étape permet d’identifier les sujets sur lesquels des améliorations sont nécessaires. Cette étape est décisive et requiert l’étude systématique et exhaustive des facteurs de RPS : intensité et complexité du travail ; durée et organisation du temps de travail ; degré d’autonomie et de contrôle ; relations sociales et travail émotionnel ; justice, sens et reconnaissance ; insécurité de la relation de travail.

La troisième étape permet le passage de l’autodiagnostic au diagnostic partagé. Elle privilégie la forme qualitative, les échanges et les discussions avec les collaborateurs. Son objectif est de valider et d’approfondir l’autodiagnostic et de définir des actions de prévention. Reste ensuite à mettre en œuvre ces actions puis à en évaluer l’efficacité (et de réajuster l’action si nécessaire). La programmation périodique de nouvelles actions permet d’alimenter une logique d’amélioration continue et de s’adapter aux changements.

Au sommaire de la fiche pratique :

  • Pourquoi réaliser un diagnostic à l'échelle d'une équipe ?
  • Première étape : doit-on s’inquiéter ?
  • Deuxième étape : d’où vient le problème ?
  • Troisième étape : et maintenant, que fait-on ?

La fiche pratique est accompagnée d'un modèle de fiche d'autodiagnostic.

Auteur
Stéphan Pezé

Stéphan Pezé

Enseignant-chercheur en management stratégique à l'Université Toulouse Capitole, Stéphan travaille depuis 2003 comme consultant et formateur en santé-sécurité au travail, d'abord pour ELEGIA Formation puis en indépendant. Depuis 2014, il conduit également des recherches sur les bonnes pratiques managériales et sur le travail stratégique des dirigeants.

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